Les programmes de défiscalisation outre-mer Girardin s’adressent aux contribuables français souhaitant réaliser de l’optimisation fiscale de manière efficace. Le dispositif a pour champ d’action leur impôt sur le revenu. L’investissement prend la forme d’un financement d’entreprises ultramarines opérant dans des secteurs économiques spécifiques.
Si vous envisagez de vous lancer dans un projet Girardin, il est important de bien le sélectionner, sachant qu’il se distingue par les risques avérés qui l’accompagnent.
Comment choisir un programme Girardin ?
Lors du choix d'un programme Girardin, plusieurs critères sont à démêler :
- le type de montage : deux types de montages sont ouverts aux contribuables. Le premier est celui dit de plein (le total investi est de moins de 250 000 euros), et le second est le montage avec agrément. Pour ceux atteignant le seuil de 1 million d’euros et plus, le circuit de validation pour l’obtention de l’agrément est plus complexe, en vue d’une sécurisation optimale
- le secteur d’activité : à chaque domaine ses propres avantages et inconvénients
- les risques : ce, sachant que ceux-ci sont de niveaux variables
- la rentabilité : celle-ci est également sujette à variation, mais peut être anticipée grâce aux simulations
- la fiscalité : important de bien comprendre le mécanisme avant de vous engager dans un projet par rapport à vos objectifs de défiscalisation : en savoir plus avec CF Profina.
Quels sont les risques à anticiper ?
Parmi les risques les plus courants : le risque de non-agrément, pour les projets mal ficelés et ne répondant pas aux conformités exigées. À cela s’ajoute le risque de requalification fiscale. Citons aussi le risque de perte en capital, sachant que la mise de départ est irrécupérable, indépendamment du succès du montage. De plus, à souligner qu’il s’agit d’un investissement à fonds perdus.
Attention également aux risques de fraude, d’où l’importance du choix de l’opérateur, pour son sérieux et sa réputation.